Un nouveau projet de soutien aux éleveurs financé par l’AFD voit le jour en Ouzbékistan. L’enjeu consiste à structurer le secteur de l’élevage pour faire face durablement à la demande croissante de produits d’origine animale tout en réduisant les importations de bétail et en encourageant des investissements dans des équipements plus verts.
Un nouveau projet de soutien aux éleveurs financé par l’AFD voit le jour en Ouzbékistan. L’enjeu consiste à structurer le secteur de l’élevage pour faire face durablement à la demande croissante de produits d’origine animale tout en réduisant les importations de bétail et en encourageant des investissements dans des équipements plus verts.
Un nouveau projet de soutien aux éleveurs financé par l’AFD voit le jour en Ouzbékistan. L’enjeu consiste à structurer le secteur de l’élevage pour faire face durablement à la demande croissante de produits d’origine animale tout en réduisant les importations de bétail et en encourageant des investissements dans des équipements plus verts.
L’économie ouzbèke est en pleine croissance, le pouvoir d’achat des habitants augmente au même titre que leur consommation de produits d’origine animale. La demande croît, poussant à l’importation de bovins en provenance d’Europe, ceux-ci étant considérés comme plus productifs pour le lait et la viande. À titre de comparaison, une vache européenne produit plus de 7 000 litres de lait par an, alors qu’une vache ouzbèke en produirait moins de 3 000. Toutefois, les races importées souffrent d’un climat et d’une alimentation inadaptées en Ouzbékistan ne leur permettant pas d’atteindre les rendements escomptés. Ces importations d’animaux contribuent également au bilan carbone du secteur de l’élevage qui représente à lui seul 13 % des émissions de gaz à effet de serre du pays.
L’économie ouzbèke est en pleine croissance, le pouvoir d’achat des habitants augmente au même titre que leur consommation de produits d’origine animale. La demande croît, poussant à l’importation de bovins en provenance d’Europe, ceux-ci étant considérés comme plus productifs pour le lait et la viande. À titre de comparaison, une vache européenne produit plus de 7 000 litres de lait par an, alors qu’une vache ouzbèke en produirait moins de 3 000. Toutefois, les races importées souffrent d’un climat et d’une alimentation inadaptées en Ouzbékistan ne leur permettant pas d’atteindre les rendements escomptés. Ces importations d’animaux contribuent également au bilan carbone du secteur de l’élevage qui représente à lui seul 13 % des émissions de gaz à effet de serre du pays.
L’économie ouzbèke est en pleine croissance, le pouvoir d’achat des habitants augmente au même titre que leur consommation de produits d’origine animale. La demande croît, poussant à l’importation de bovins en provenance d’Europe, ceux-ci étant considérés comme plus productifs pour le lait et la viande. À titre de comparaison, une vache européenne produit plus de 7 000 litres de lait par an, alors qu’une vache ouzbèke en produirait moins de 3 000. Toutefois, les races importées souffrent d’un climat et d’une alimentation inadaptées en Ouzbékistan ne leur permettant pas d’atteindre les rendements escomptés. Ces importations d’animaux contribuent également au bilan carbone du secteur de l’élevage qui représente à lui seul 13 % des émissions de gaz à effet de serre du pays.
L’augmentation de la demande se heurte toutefois aux contraintes climatiques de plus en plus sévères en Ouzbékistan. « C’est très dur de faire de l’agriculture sans eau, on souffre beaucoup de la sécheresse », témoigne Ahsraf Kodirov, un fermier de la ville de Shahrisabz. En raison des pénuries d’eau fréquentes et du manque de terres arables, les éleveurs n’ont souvent pas d’autres choix que d’acheter à un coût très élevé le fourrage nécessaire pour nourrir leur bétail.
L’augmentation de la demande se heurte toutefois aux contraintes climatiques de plus en plus sévères en Ouzbékistan. « C’est très dur de faire de l’agriculture sans eau, on souffre beaucoup de la sécheresse », témoigne Ahsraf Kodirov, un fermier de la ville de Shahrisabz. En raison des pénuries d’eau fréquentes et du manque de terres arables, les éleveurs n’ont souvent pas d’autres choix que d’acheter à un coût très élevé le fourrage nécessaire pour nourrir leur bétail.
L’augmentation de la demande se heurte toutefois aux contraintes climatiques de plus en plus sévères en Ouzbékistan. « C’est très dur de faire de l’agriculture sans eau, on souffre beaucoup de la sécheresse », témoigne Ahsraf Kodirov, un fermier de la ville de Shahrisabz. En raison des pénuries d’eau fréquentes et du manque de terres arables, les éleveurs n’ont souvent pas d’autres choix que d’acheter à un coût très élevé le fourrage nécessaire pour nourrir leur bétail.
« C’est très dur de faire de l’agriculture sans eau, on souffre beaucoup de la sécheresse »
Face à ces enjeux, Jamshid Jalilov, économiste au sein du Comité d’État du développement vétérinaire et de l’élevage en Ouzbékistan, est formel : « Pour empêcher une augmentation des émissions de dioxyde de carbone, il faut encourager les investissements en faveur d’équipements durables pour l’ensemble de la filière. » Un constat partagé par Clément Lapointe, responsable du projet sur la filière élevage financé par l’AFD en Ouzbékistan, qui insiste sur l’importance d’accroître la productivité de ce secteur sans contribuer à l’augmentation du nombre de bêtes. « Cela passe par l’amélioration de la qualité du fourrage, la réduction des pertes avec une attention particulière portée aux conditions phytosanitaires, à la chaîne du froid, mais aussi par l’optimisation des équipements employés par les éleveurs en favorisant l’utilisation d’énergies renouvelables », explique le chargé de projet.
Face à ces enjeux, Jamshid Jalilov, économiste au sein du Comité d’État du développement vétérinaire et de l’élevage en Ouzbékistan, est formel : « Pour empêcher une augmentation des émissions de dioxyde de carbone, il faut encourager les investissements en faveur d’équipements durables pour l’ensemble de la filière. » Un constat partagé par Clément Lapointe, responsable du projet sur la filière élevage financé par l’AFD en Ouzbékistan, qui insiste sur l’importance d’accroître la productivité de ce secteur sans contribuer à l’augmentation du nombre de bêtes. « Cela passe par l’amélioration de la qualité du fourrage, la réduction des pertes avec une attention particulière portée aux conditions phytosanitaires, à la chaîne du froid, mais aussi par l’optimisation des équipements employés par les éleveurs en favorisant l’utilisation d’énergies renouvelables », explique le chargé de projet.
Face à ces enjeux, Jamshid Jalilov, économiste au sein du Comité d’État du développement vétérinaire et de l’élevage en Ouzbékistan, est formel : « Pour empêcher une augmentation des émissions de dioxyde de carbone, il faut encourager les investissements en faveur d’équipements durables pour l’ensemble de la filière. » Un constat partagé par Clément Lapointe, responsable du projet sur la filière élevage financé par l’AFD en Ouzbékistan, qui insiste sur l’importance d’accroître la productivité de ce secteur sans contribuer à l’augmentation du nombre de bêtes. « Cela passe par l’amélioration de la qualité du fourrage, la réduction des pertes avec une attention particulière portée aux conditions phytosanitaires, à la chaîne du froid, mais aussi par l’optimisation des équipements employés par les éleveurs en favorisant l’utilisation d’énergies renouvelables », explique le chargé de projet.
« Pour empêcher une augmentation des émissions de dioxyde de carbone, il faut encourager les investissements en faveur d’équipements durables pour l’ensemble de la filière. »
« Cela passe par l’amélioration de la qualité du fourrage, la réduction des pertes avec une attention particulière portée aux conditions phytosanitaires, à la chaîne du froid, mais aussi par l’optimisation des équipements employés par les éleveurs en favorisant l’utilisation d’énergies renouvelables »
La majeure partie de la ligne de crédit de 100 millions d’euros mise à disposition du gouvernement ouzbek par l’AFD sera reversée à des banques locales qui offriront des prêts à un taux préférentiel aux acteurs de la filière élevage. Ceux-ci pourront utiliser les fonds pour réaliser des investissements considérés comme climato-intelligents, qui contribueront à améliorer la productivité, tout en réduisant l’empreinte carbone du secteur. Ces investissements peuvent prendre plusieurs formes : équipements améliorant la production de fourrage ou la productivité des animaux, outils améliorant l’efficacité énergétique des bâtiments, installations pour le recueil et le stockage des effluves, matériels d’épandage ou d’irrigation goutte-à-goutte, infrastructures mieux isolées pour entreposer le fourrage, remorques ensileuses, etc.
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La majeure partie de la ligne de crédit de 100 millions d’euros mise à disposition du gouvernement ouzbek par l’AFD sera reversée à des banques locales qui offriront des prêts à un taux préférentiel aux acteurs de la filière élevage. Ceux-ci pourront utiliser les fonds pour réaliser des investissements considérés comme climato-intelligents, qui contribueront à améliorer la productivité, tout en réduisant l’empreinte carbone du secteur. Ces investissements peuvent prendre plusieurs formes : équipements améliorant la production de fourrage ou la productivité des animaux, outils améliorant l’efficacité énergétique des bâtiments, installations pour le recueil et le stockage des effluves, matériels d’épandage ou d’irrigation goutte-à-goutte, infrastructures mieux isolées pour entreposer le fourrage, remorques ensileuses, etc.
La majeure partie de la ligne de crédit de 100 millions d’euros mise à disposition du gouvernement ouzbek par l’AFD sera reversée à des banques locales qui offriront des prêts à un taux préférentiel aux acteurs de la filière élevage. Ceux-ci pourront utiliser les fonds pour réaliser des investissements considérés comme climato-intelligents, qui contribueront à améliorer la productivité, tout en réduisant l’empreinte carbone du secteur. Ces investissements peuvent prendre plusieurs formes : équipements améliorant la production de fourrage ou la productivité des animaux, outils améliorant l’efficacité énergétique des bâtiments, installations pour le recueil et le stockage des effluves, matériels d’épandage ou d’irrigation goutte-à-goutte, infrastructures mieux isolées pour entreposer le fourrage, remorques ensileuses, etc.
« Ce sont des équipements très coûteux, comme des unités de méthanisation ou encore des appareils plus efficaces de transformation de produits d’origine animale, en temps normal les exploitants n’y ont pas accès. Grâce à ces crédits, ils pourront s’en procurer », assure Jamshid Jalilov. Cette aide financière participera donc au développement de la filière élevage afin de la rendre plus verte et plus durable face aux risques climatiques locaux grandissants.
« Ce sont des équipements très coûteux, comme des unités de méthanisation ou encore des appareils plus efficaces de transformation de produits d’origine animale, en temps normal les exploitants n’y ont pas accès. Grâce à ces crédits, ils pourront s’en procurer », assure Jamshid Jalilov. Cette aide financière participera donc au développement de la filière élevage afin de la rendre plus verte et plus durable face aux risques climatiques locaux grandissants.
« Ce sont des équipements très coûteux, comme des unités de méthanisation ou encore des appareils plus efficaces de transformation de produits d’origine animale, en temps normal les exploitants n’y ont pas accès. Grâce à ces crédits, ils pourront s’en procurer », assure Jamshid Jalilov. Cette aide financière participera donc au développement de la filière élevage afin de la rendre plus verte et plus durable face aux risques climatiques locaux grandissants.
« Ce sont des équipements très coûteux, comme des unités de méthanisation ou encore des appareils plus efficaces de transformation de produits d’origine animale, en temps normal les exploitants n’y ont pas accès. Grâce à ces crédits, ils pourront s’en procurer »
Les petits agriculteurs ont difficilement accès au crédit car ils n’ont pas souvent les garanties nécessaires exigées par les banques pour contracter un prêt. Dès lors, sans financement il est presque impossible pour eux d’investir et de développer leur activité. Cette situation les maintient dans une certaine précarité et dans une grande instabilité financière. Avec ce projet, l’AFD entend justement renforcer l’inclusion des dekhans au sein de la filière élevage, par le biais d’un accès au crédit facilité et d’un accroissement de leurs revenus. Pour ce faire, une partie de la ligne de crédit, à hauteur de 24 millions d’euros, est exclusivement dédiée aux petits exploitants. Afin de les encourager à contracter des prêts, une subvention à l’investissement issue de fonds européens, qui couvre jusqu’à 25 % du montant du prêt, sera versée aux dekhans qui investissent en faveur d’équipements à bénéfice climat. Cette prime à l’investissement favorise également les exploitations menées par des jeunes et par des femmes, afin de renforcer la diversité des profils des éleveurs.
Les petits agriculteurs ont difficilement accès au crédit car ils n’ont pas souvent les garanties nécessaires exigées par les banques pour contracter un prêt. Dès lors, sans financement il est presque impossible pour eux d’investir et de développer leur activité. Cette situation les maintient dans une certaine précarité et dans une grande instabilité financière. Avec ce projet, l’AFD entend justement renforcer l’inclusion des dekhans au sein de la filière élevage, par le biais d’un accès au crédit facilité et d’un accroissement de leurs revenus. Pour ce faire, une partie de la ligne de crédit, à hauteur de 24 millions d’euros, est exclusivement dédiée aux petits exploitants. Afin de les encourager à contracter des prêts, une subvention à l’investissement issue de fonds européens, qui couvre jusqu’à 25 % du montant du prêt, sera versée aux dekhans qui investissent en faveur d’équipements à bénéfice climat. Cette prime à l’investissement favorise également les exploitations menées par des jeunes et par des femmes, afin de renforcer la diversité des profils des éleveurs.
Les petits agriculteurs ont difficilement accès au crédit car ils n’ont pas souvent les garanties nécessaires exigées par les banques pour contracter un prêt. Dès lors, sans financement il est presque impossible pour eux d’investir et de développer leur activité. Cette situation les maintient dans une certaine précarité et dans une grande instabilité financière. Avec ce projet, l’AFD entend justement renforcer l’inclusion des dekhans au sein de la filière élevage, par le biais d’un accès au crédit facilité et d’un accroissement de leurs revenus. Pour ce faire, une partie de la ligne de crédit, à hauteur de 24 millions d’euros, est exclusivement dédiée aux petits exploitants. Afin de les encourager à contracter des prêts, une subvention à l’investissement issue de fonds européens, qui couvre jusqu’à 25 % du montant du prêt, sera versée aux dekhans qui investissent en faveur d’équipements à bénéfice climat. Cette prime à l’investissement favorise également les exploitations menées par des jeunes et par des femmes, afin de renforcer la diversité des profils des éleveurs.
Un partenariat avec le fonds ouzbek pour le développement de l’entrepreneuriat viendra compenser le manque de moyen pour fournir des garanties aux banques lors de la demande de prêt. Ce fonds couvre jusqu’à 50 % du montant de la garantie et jusqu’à 5 % de taux d’intérêt. Des volets d’assistance technique sont également prévus pour accompagner les banques à promouvoir cette ligne de crédit auprès des éleveurs concernés, mais également auprès des associations de fermiers pour sensibiliser les petits exploitants à l’utilité d’un financement, et pour les soutenir dans leurs démarches.
Un partenariat avec le fonds ouzbek pour le développement de l’entrepreneuriat viendra compenser le manque de moyen pour fournir des garanties aux banques lors de la demande de prêt. Ce fonds couvre jusqu’à 50 % du montant de la garantie et jusqu’à 5 % de taux d’intérêt. Des volets d’assistance technique sont également prévus pour accompagner les banques à promouvoir cette ligne de crédit auprès des éleveurs concernés, mais également auprès des associations de fermiers pour sensibiliser les petits exploitants à l’utilité d’un financement, et pour les soutenir dans leurs démarches.
Un partenariat avec le fonds ouzbek pour le développement de l’entrepreneuriat viendra compenser le manque de moyen pour fournir des garanties aux banques lors de la demande de prêt. Ce fonds couvre jusqu’à 50 % du montant de la garantie et jusqu’à 5 % de taux d’intérêt. Des volets d’assistance technique sont également prévus pour accompagner les banques à promouvoir cette ligne de crédit auprès des éleveurs concernés, mais également auprès des associations de fermiers pour sensibiliser les petits exploitants à l’utilité d’un financement, et pour les soutenir dans leurs démarches.
« Ces mécanismes inciteront certainement les dekhans à s’associer pour faire des demandes de prêts conjoints et mettre sur pied une première forme de coopération », indique Clément Lapointe. Le projet vise ainsi à « encourager les exploitants à se regrouper, acheter du matériel en commun, créer des coopératives, mais aussi des clusters, qui recouvrent plusieurs pans de la chaîne de production : de la production de lait à sa transformation en beurre, yaourts, fromages, au sein d’un même système autonome », poursuit le chargé de projet. Par ce biais, les dekhans se voient intégrés à la chaîne de valeur élevage et leurs activités ainsi que leurs revenus se stabilisent.
« Ces mécanismes inciteront certainement les dekhans à s’associer pour faire des demandes de prêts conjoints et mettre sur pied une première forme de coopération », indique Clément Lapointe. Le projet vise ainsi à « encourager les exploitants à se regrouper, acheter du matériel en commun, créer des coopératives, mais aussi des clusters, qui recouvrent plusieurs pans de la chaîne de production : de la production de lait à sa transformation en beurre, yaourts, fromages, au sein d’un même système autonome », poursuit le chargé de projet. Par ce biais, les dekhans se voient intégrés à la chaîne de valeur élevage et leurs activités ainsi que leurs revenus se stabilisent.
« Ces mécanismes inciteront certainement les dekhans à s’associer pour faire des demandes de prêts conjoints et mettre sur pied une première forme de coopération », indique Clément Lapointe. Le projet vise ainsi à « encourager les exploitants à se regrouper, acheter du matériel en commun, créer des coopératives, mais aussi des clusters, qui recouvrent plusieurs pans de la chaîne de production : de la production de lait à sa transformation en beurre, yaourts, fromages, au sein d’un même système autonome », poursuit le chargé de projet. Par ce biais, les dekhans se voient intégrés à la chaîne de valeur élevage et leurs activités ainsi que leurs revenus se stabilisent.
« Ces mécanismes inciteront certainement les dekhans à s’associer pour faire des demandes de prêts conjoints et mettre sur pied une première forme de coopération »
« encourager les exploitants à se regrouper, acheter du matériel en commun, créer des coopératives, mais aussi des clusters, qui recouvrent plusieurs pans de la chaîne de production : de la production de lait à sa transformation en beurre, yaourts, fromages, au sein d’un même système autonome »
Avec un modèle de développement de l’élevage basé sur le potentiel de croissance des petits agriculteurs et sur leur capacité à adopter des pratiques résilientes face au changement climatique, ce projet a pour vocation de participer au changement structurel de l’économie agricole ouzbèke.
Avec un modèle de développement de l’élevage basé sur le potentiel de croissance des petits agriculteurs et sur leur capacité à adopter des pratiques résilientes face au changement climatique, ce projet a pour vocation de participer au changement structurel de l’économie agricole ouzbèke.
Avec un modèle de développement de l’élevage basé sur le potentiel de croissance des petits agriculteurs et sur leur capacité à adopter des pratiques résilientes face au changement climatique, ce projet a pour vocation de participer au changement structurel de l’économie agricole ouzbèke.
Cet article fut initialement publié par l’
AFD
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